Le monde d’AstoreChapitre premier
Avertissement/ Le personnage [monsieur Wills] n’est pas le héros de l’histoire, cela marque juste le début de la Fic/ Bonne lecture.
France-Paris. Exposition au Grand Palais"Monsieur Wills, monsieur Wills !" Criait une voix lointaine.
L’intéressé fuyait cette voix dont le propriétaire était bien trop curieux. Monsieur Wills était un homme d’environ soixante et qui abordait un air typiquement Anglais. Sa moustache et ses cheveux blancs étaient toujours dans une tenue parfaite. Bien qu’Amateur d’œuvre d’arts de qualité il n’aimait pas ce genre de réception ou même les Parisiens de très modeste condition pouvaient se joindre. Hors ce soir était un soir pas comme les autre, c’était celui ou les enchères allaient monter très haut et il avait ramené sa carte exprès pour l’occasion. Il tapota légèrement sa poche gauche pour vérifier si son portefeuille était toujours en place. Pas d’inquiétude à avoir, aucuns voleur n’avait fait ses poches. Mais depuis tout à l’heure Monsieur Wills ne se préoccupait plus de la soirée mais du journaliste qui le suivait partout et l’appelait à tord et à travers. Sa curiosité et sa capacité de ténacité avait vite fait de l’agacer.
Après un long moment de course poursuite dans les salles le journaliste avait bien finit par laisser le Viel homme tranquille. Mais pour s’en assurer celui-ci avait préféré se mettre à l’écart dans une des salles ou les festivités de se déroulaient pas. Les simples tableaux accrochés au mur avaient vite fait d’attirer son attention. Ils représentaient des paysages tantôt arides tantôt luxuriants. Alors qu’il regardait les peintures il entendit du bruit et ne sachant pas pourquoi, se cacha derrière un des piliers au coin de la salle. De là, il vit entrer deux individus vêtus étrangement. Le premier était une jeune fille aux cheveux roses, elle portait une jupe marron ainsi qu’un corset de même couleur au fils de cuir. A sa ceinture, pendait une montre à gousset de grosse taille et des petits flacons contenant des liquides plus étranges les un que les autres. Des longues bottes lui remontaient jusques au genou et elles étaient sertit de petit rouages en bronze. Pour finir cette tenue singulière cet individu féminin avait des longs gants, sans doute en cuir marron, et une montre faite de rouage visibles dorés et bronzes. L’autre étrange inconnu était un homme grand au visage neutre. Il portait un grand pantalon noir de couleur marron également et le reste était dissimulé sous une cape couleur or.
"-Lottie tu es prête ?" Dit l’homme à la jeune fille aux cheveux roses.
Celle-ci hocha la tête. Monsieur Wills aurait donné Vingt ans à la jeune fille et trente à l’homme. Mais il ne fut pas au bout de ses surprises lorsqu’il vit le tableau, celui devant lequel était Lottie et l’homme, subir une légèrement déformation. Après s’être frotté les yeux il ne vit rien de normal, tout défila sous ses yeux en un instant. La jeune fille et l’homme se compressèrent et entrèrent dans le tableau rapidement tel un éclair. Puis, plus rien. Que le silence noir de la salle, la faible luminosité et le tableau normal sans aucune déformation.
"-Ah monsieur Wills je vous retrouve enfin…Acceptez –vous de répondre à mes questions ?" Dit la voix du jeune reporter qui le traquait depuis le début de la soirée.
Le Viel homme se tourna vers le reporter, le poussa et pris la sortit du Grand Palais pour se retrouver dans les rue Parisienne encore choqué.
Il venait de voir deux individus entrer dans un tableau.
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